D’abord fasciné par l’image, j’ai eu tout d’abord une culture BD plutôt qu’une culture littéraire. Les livres que je lisais en tant que jeune adulte étaient plus inspiré par des univers proches de Tarantinon, sinon de Robert Rodriguez.
C’est notamment en lisant la saga du Borbon Kid (Le Livre Sans Nom) que m’est venu l’envie de mettre mes crayons de côté, et de me mettre à écrire.
Cette ébauche de nouvelle est restée poussiéreux dans un tiroir numérique pendant plusieurs années, avant qu’on me dise que je pouvais réellement en faire quelque chose.
Ainsi est né ma première nouvelle intitulée Asmorod, Mon Gardien, un texte pour jeune adulte, fait par le jeune adulte que j’ai été quand j’en ai imaginé les premiers mots.
Mais dans la vie, comme je le disais plus haut, on s’intéresse a de nombreuses choses.
On n’a pas toujours les mêmes avis.
On change.
Je me suis intéressé à quelques romans d’anticipations, quelques essais plus sérieux sur tout un tas de sujets différents, avec des subjectivités différentes.
Et puis je me suis réapproprié quelques fondamentaux d’histoire, des idées et savoirs ancestraux allant des stoïques de l’antiquité à ce bon vieux Nietzsche.
Ainsi est né l’envie d’écrire de jolies choses, sous formes de poèmes. Je les ai voulu tantôt inspiré de ma vie, tantôt inspiré de ce qui m’inspire.
J’ai délibérément voulu m’écarter du spleen et de la peine amoureuse. La démarche est plutôt de redonner de la positivité dans le cœur des gens, ainsi que certains codes que l’on ne nous enseigne plus tant qu’on le devrait à mon goût.